lundi, novembre 30, 2009

Cercle vicieux

Carrément digne d'un Raymond Devos ce courrier trouvé dans le dernier "60 Millions de Consommateurs" (excellente revue que je lis depuis une vingtaine d'années) :

"J'ai acheté un logiciel de traduction Power Translator 12 sur le site www.avanquest.com. J'ai reçu un CD d'installation sans la moindre explication. j'ai adressé plusieurs mails, et il m'a été répondu qu'il n'existait pas de manuel d'utilisation en français, mais qu'on me ferait parvenir un manuel en anglais.
Un comble ! Si je connaissais l'anglais, je n'aurais pas eu besoin d'acheter un logiciel de traduction !"
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dimanche, novembre 29, 2009

La longue marche


Une des qualités du collectionneur doit être la patience.
Sur ce dessin que j'avais repéré sur eBay, le premier contact avec le vendeur hollandais date de décembre 2007 ... voici donc deux ans.
Le vendeur n'arrive pas à le vendre à son prix d'achat d'il y a 15 ans (selon lui). Tout le monde sait qui l'a dessiné mais il n'a pas été signé. Damned !
Il me raconte qu'il a aidé temporairement à l'installation de l'exposition, c'était à la Galerie Anee à Haarlem (Pays-Bas) vers 1993. S'il n'a pas été signé, c'est parce que l'artiste n'est venu que le lendemain du vernissage et qu'entre temps, il avait fallu l'encadrer... enfin une histoire tout à fait plausible qui me parait être racontée de manière sincère. Du coup, la seule chose qui me resterait à faire est de prendre contact avec l'artiste à Paris pour qu'il le signe. Ce n'est pas forcément le plus facile !

Multiples discussions sur le prix en février puis en juin 2008, tombons d'accord en août de la même année, et je reçois le dessin en vacances le 13 août 2008. Après réception , j'ai mis 18 mois à le faire signer, jeudi dernier. Je ne rentrerai pas dans le détail des pérégrinations qu'il m'a fallu affronter...
Enfin signé, il a été immédiatement réencadré dans un grand cadre Nielsen blanc et il décore aujourd'hui ma salle à manger.



C'est un simple dessin aux crayons de couleurs, de très grand format. Une recherche, un travail qui parait "non terminé" . Un profil très pur, une sorte de Starwatcher mais avec une coiffe différente. Je le trouve tout simplement magnifique.

Collectionner demande d'être patient, mais procure parfois de grands plaisirs.
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samedi, novembre 28, 2009

Du blog d'Aedena ... aux jardins d'Eden


Ouh, le vilain copieur ce dénommé Effel (ne pas confondre avec Eiffel, celui de la tour) qui reprend mon concept d'Eden, Edena, Aedena ... que j'ai moi-même copié sur un célèbre dessinateur de science-fiction.
Je plaisante bien sûr, Jean Effel (1908-1982) est un des illustrateurs marquants du XXème siècle.

Adolescent, lorsque j'étais au Lycée Carnot, nous avions de grandes panneaux originaux d'Effel qui décoraient le réfectoire, reprenant Adam, Eve, la Création du Monde. En cherchant un peu sur le web, j'ai découvert qu'Effel était lui-même un ancien élève de Carnot, ceci explique peut-être cela.

Ces grands panneaux d'Effel, je les appréciais sans plus, je les trouvais trop simplistes, à la limite du dessin enfantin. Lorsque je suis retourné à Carnot récemment (voir ici et ici), j'ai demandé au Président des Anciens où étaient ces fresques d'Effel, il m'a indiqué que le Lycée les possédaient encore mais elles étaient entreposées dans un local technique.

Il y a quelques jours, j'ai trouvé dans une solderie (Mona Lisait) un beau livre sur l'oeuvre d'Effel. De son prix d'origine (38,50 €), il était soldé à 4,50€ et il y en avait une sacrée pile ! Je l'ai acheté sans hésiter d'autant que j'ai vu qu'il était écrit par François Robichon, dont j'avais déjà lu un livre sur Benjamin Rabier chez le même éditeur Hoëbeke.

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vendredi, novembre 27, 2009

Mon Morceau du "Mur" Morcelé Mais Ménagé


Bon, ça y est. C'est arrivé et je le redoutais.
Le gros morceau de Mur de Berlin que j'avais ramené de là-bas en avril 1990 (6 mois après la chute du mur) s'est cassé en 3 morceaux.

Pendant 20 ans, j'ai réfléchi à ce que je pouvais bien faire de ce superbe morceau de mur taggé, mais dont le béton a malheureusement fini par se déliter lentement mais sûrement.
D'abord, des petits morceaux de béton qui tombent comme des billes, la peinture qui laisse apparaitre quelques fendillements...

Mon idée de départ était de "figer" l'ensemble dans un inclusion en résine transparente.
Il y a 3 ans, je suis passé voir une entreprise de plasturgie qui faisait ce genre de choses, mais son gérant m'a dissuadé : trop cher, trop gros, pas adapté. Il m'a plutôt orienté sur une autre solution pratiquée couramment pour les trophées publicitaires : mettre le morceau de mur sous un petit capot de plastique transparent dur qui le protège.
Solution qui ne me plaisait guère car elle n'empêchait pas le béton de se dégrader.

Soyons constructifs ! Maintenant, c'est plus simple ... les morceaux sont plus petits et je vais reprendre mon idée de faire une jolie inclusion avec le plus gros morceau. Si vous connaissez des entreprises ou des artisans qui savent faire cela, soyez gentil de me contacter.
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mercredi, novembre 25, 2009

Choisir ses lunettes


Elle se reconnaitra aisément dans mes félicitations !
Un premier site web pour choisir ses lunettes. L'occasion, aussi, de mettre le pied à l'étrier sur un outil de gestion de contenu (un "CMS" disent les spécialistes) très puissant : Joomla. Un des plus beaux projets open-source mondiaux, qui s'articule autour d'un noyau et de multiples extensions, modules, add-ons. Un champ de possibilité quasi-infini à condition d'avoir du temps ET des idées.
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mardi, novembre 24, 2009

Retour de vente avec ... du Calvo


Hallucinant de beauté et de justesse le dessin de CALVO, qu'on surnommait parfois le "Walt Disney français".

J'ai ramené de la vente Artcurial de samedi une grande planche de "Cricri, souris d'appartement", une planche qui doit dater des années 1949-1950.
En haut de l'article, voici juste les 2 premières cases (encre de chine et crayon bleu).

Même s'il est reconnu aujourd'hui comme un Maître très précurseur du 9ème Art, Edmond-François Calvo est hélas trop oublié aujourd'hui, à l'exception de son chef d'oeuvre ("La bête est morte") qui évoque avec une force inouïe la Seconde Guerre Mondiale sous forme d'une satire animalière. N'oublions pas non plus que Calvo fût le Maître d' Albert Uderzo lorsqu'il était jeune homme, ce dernier venait le voir régulièrement dessiner et s'en est beaucoup inspiré.
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Facebook : de jolies découvertes (part 4)


Pour tous ceux qui - comme moi - ont acquis leur culture musicale dans les années 70, Daniel Guichard représente forcément un incontournable de la chanson populaire avec quelques classiques comme "La tendresse" ou "Mon vieux".

Ange déchu ou du moins un peu oublié, l'ex-star des hit-parades a cependant gardé le contact avec son public "France profonde"et dialogue avec lui tous les jours, en mettant en ligne des vidéos, en échangeant avec sincérité sur un tas de sujets qui réchauffent le coeur ou font monter les larmes.

Et ses 2171 "amis" de dialoguer, s'apostropher, s'amouracher ... je suis persuadé que ces "liens sociaux" qu'on dit superficiels peuvent l'être bien moins qu'on ne le dit. Parfois, j'ai presque l'impression d'être indiscret en assistant à tout ça.
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lundi, novembre 23, 2009

Tronche de Kek


Sur le blog du développeur freelance Kek (fameux pour ses jeux), il y a ce petit jeu assez bizarre ... vous allez voir, ça parait simple, ça l'est moins qu'on ne le pense.
D'abord, cette musique entêtante, légèrement angoissante (me rappelle un peu la narcissique orientale épinglée en 2006).
On se rend vite compte qu'il faut être ultra-précis avec sa souris.
Interdit de trembler.
Et puis, quand on arrive au deuxième ou troisième tableau, une énorme surprise.
Je ne peux pas en dire plus. Il faut essayer. Je vous aurais prévenu.
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mercredi, novembre 18, 2009

Une légende vivante aperçue rue Martel ?






Allez, exceptionnellement, je "vole" quelques photos à un talentueux ami Facebook (Alain Lachartre) du vernissage hier soir - je n'y étais pas - de l'exposition que Lorenzo Mattotti présentait dans la galerie tenue par son épouse (Galerie Martel).
L'exposition concernait les originaux que l'illustrateur italien a fait sur un texte de Lou Reed, les 2 co-auteurs étaient présents pour dédicacer le livre ("The Raven").

Apercevoir l'immense Lou Reed au détour d'une banale vitrine parisienne dans un quartier populaire, ça doit fait tout bizarre.
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lundi, novembre 16, 2009

A-scète


"Tout le monde ne peut pas devenir artiste. Cela exige un certain niveau de douleur morale ou physique, qui ne peut être résolu autrement que de manière artistique - faute de quoi, on ne trouve pas sa place dans le monde".

Dominique A
(in Télérama du 14/11/09)


Superbe Dominique A (voir aussi ici et ), artiste intransigeant avec sa démarche, exigeant dans ses choix. Je le suis depuis ses débuts en 1992, et c'est vraiment l'un des rares dont je sois sûr à 100% de l'honnêteté intellectuelle, de l'intégrité. Je n'aime pas toujours tout dans sa musique, mais il a le mérite de vouloir avancer en permanence.
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samedi, novembre 14, 2009

Les 12 travaux de Basil Sedbuk, amateur-bloggeur


Dans la bande dessinée, sur internet, il y a 2 catégories de personnes : ceux qui la font et ceux qui en parlent.
Dans la première catégorie, on trouvera les auteurs dont beaucoup possèdent un site perso, et également les "pures players" que sont les stars du blog BD : Laurel, Boulet, Pénélope Joli-Coeur, ou autre Vidberg.

Mais je ne méprise pas pour autant ceux qui se contentent d'en parler, analyser, chroniquer souvent avec talent : le site d'actualité Actuabd, les forums bdgest, l'érudit blog des "Lectures de Raymond", et je souhaiterais zoomer aujourd'hui sur l'important travail fait par un certain Basil Sedbuk en ouvrant une ribambelle de blogs consacrés à différents "modernes" .

Ces blogs ne se contentent pas d'effleurer l'actualité de l'artiste mais réalisent un vrai travail de recherche pour exhiber des travaux peu connus : François Avril ("Les passants d'avril"), Floc'h ("L'homme dans la foule"), Ted Benoit ("Metropolis Journal"), Dominique Corbasson ("Looking for DC"), ou encore "La belle illustration", plus généraliste qui reprend des couvertures du New Yorker (Sempé), des illustrations parues dans la presse, la pub ou le cinéma par divers artistes.

Une vraie multinationale du blog de fan, ce Basil !
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mardi, novembre 10, 2009

Patios sévillans






Quand on se promène dans les étroites rues sévillanes, comme nous l'avons fait il y a une dizaine de jours, on voit sans cesse des portes cochères s'ouvrant sur de charmants patios qui apportent la fraîcheur qui manque tant à la chaude saison.
Les fontaines sont fréquentes et la verdure omniprésente.
En voici trois capturés par mon objectif.
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lundi, novembre 09, 2009

Grandes écoles vs Universités : l'éternel débat français

L'autre jeudi, un intéressant reportage à la télévision dans "Envoyé Spécial" (France2) sur les classes préparatoires aux Grandes Ecoles.

Le sujet se présente ainsi :

"Aujourd’hui 10 % des lycéens qui viennent d’avoir le bac intègrent une classe prépa. Parcours d’excellence pour réussir les concours prestigieux des grandes écoles mais parfois aussi la peur de l’université et de l’échec. Pendant deux ou trois ans, ces jeunes vont devoir mettre leur vie entre parenthèse pour se consacrer exclusivement au travail. De moins en moins de loisirs et de temps libre, des nuits blanches, des week-ends à bûcher, c’est le quotidien des étudiants de prépas, un des moyens pour espérer réussir le concours d’une grande école. Comment justifier ce système unique au monde ? Comment fabrique-t-on des bêtes à concours ? Le jeu en vaut-il la chandelle ? Pendant un an, nous avons suivi deux classes prépas dans le prestigieux lycée Lakanal en banlieue parisienne : une première année scientifique dont les élèves espèrent passer dans la classe supérieure et une deuxième année littéraire qui espère réussir les concours. Une année d’espoir, de désillusion, de réussite aussi."

Lové sur mon canapé, mon esprit vagabonde et je repense à mes 3 ans de prépa au Lycée Buffon (Bass'Buff pour les intimes). Déjà, il faut être très franc : il y a quelques temps, j'ai eu l'occasion de tomber sur un forum "prépa" et je n'y comprenais plus rien ! Je serais bien incapable de "raccrocher les wagons" aujourd'hui, tout ceci est très très loin au fond de ma mémoire. Je dirais même que si je devais repasser le Bac demain sans aucune révision, j'échouerais sûrement.
Quand j'ai été reçu à Centrale Lille, j'avais l'appréhension de partir à Lille (qui avait une sinistre réputation dans mon esprit, très vite démentie). J'ai déjà raconté combien j'avais été content de revenir ponctuellement dans le lieu où j'ai sûrement passé les meilleures années de ma vie.

Le système des prépas et des grandes écoles est sur la selette depuis des années (déjà, il y a 25 ans , quand j'y étais les polémiques étaient à peu près similaires). pourtant, force est de constater que ça ne bouge guère, même si un effort réel semble fait pour rendre les prépas accessibles à une forte proportion de boursiers.

Ceci m'a aussi remis en mémoire un article de Damien Lorton que j'avais lu ici en septembre dernier. Polytechnicien (X-Ponts), Lorton ne crache pas dans la soupe mais exprime de manière très pertinente un certain nombre de désillusions quant à l'efficacité du système.

Laissez-moi citer quelques extraits (c'est moi qui souligne en gras quelques mots) :

En France, l’école ne forme pas, elle sélectionne. Cette vérité ressort avec force lorsqu’on se penche sur ses classes préparatoires : les taupins veulent-ils réellement devenir ingénieurs, tandis que les écoles dont ils ambitionnent tellement « l’intégration » portent encore ce nom ? N’est-il pas absurde de se destiner au BTP ou à l’aéronautique suivant que l’on ait réussi à décrocher les Ponts et Chaussées ou seulement Suparéo, suivant que l’on se soit montré plus ou moins inspiré face à sa copie un beau matin du mois de mai de ses vingt ans ? Mais rassurons-nous : cette absurdité n’est qu’apparente dans la mesure où les écoles d’ingénieur n’ont plus d’ingénieur que le nom. A l’époque où je fréquentais les Ponts et chaussées, une infime minorité d’élèves choisissaient l’apprentissage des techniques de construction, la majorité se tournant vers l’économie et la finance. Ce constat peut être étendu à l’ensemble des formations d’ingénieur en France : la banque et le conseil représentent désormais les premiers employeurs de jeunes diplômés, bien avant les entreprises industrielles.

ou encore

Curieusement en France, le choix précoce d’un métier signe l’échec scolaire. Le must consiste au contraire à repousser autant que possible sa spécialisation et à se maintenir dans les voies les plus généralistes, avec à la clé le précieux sésame d’une école que l’on souhaite la plus prestigieuse possible, et comme unique perspective le loisir de pouvoir le lustrer avec une nostalgie maniaque tout le reste de sa vie. Le concours a comme fonction de séparer à jamais les élus des autres, dans une dramaturgie de l’irréversibilité où chacun est habité par le sentiment de jouer son existence entière. D’un côté les admis et de l’autre les recalés : les premiers se saisiront avec allégresse de leur viatique comme s’ils avaient acquis une quelconque supériorité ontologique sur les seconds, lesquels ressasseront amèrement leur échec sans jamais véritablement pouvoir s’en délivrer.

Ce que dit Damien Lorton est vrai !
Et je n'ai pas vraiment de solution à proposer.
Force est de constater dans la vie professionnelle que le système un peu élitiste de Grandes Ecoles génère des individus qui ont acquis une bonne méthode de travail. Au-delà de ça, cette capacité de pouvoir se reposer toute sa vie sur un diplôme est grotesque.
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dimanche, novembre 08, 2009

Par ici, la bonne jelly !


Dans la fin des années 60, mon père était très souvent en voyage d'affaires aux Etats-Unis et nous rapportait à ma soeur et à moi des jellys (gelées) qui faisaient notre délice.
Plus tard, je me suis aperçu en parlant à des amis qu'en général ces jellys évoquaient en France plus de dégoût qu'autre chose (remuer la main pour évoquer une substance flasque ...).
En passant ce dimanche après-midi chez W.H. Smith, la célébre librairie anglophone de la rue de Rivoli, je tombe au 1er étage sur un petit corner d'English Food et notamment sur ces gelées de marque Hartley's.

Bien sûr, j'en ai pris !
Deux pour commencer ... (lime & rapsberry), on verra si mes enfants aiment.
Je sais déjà que les ingrédients seront regardés avec attention ("berk, c''est tout chimique") mais je crois quand même qu'elles ont d'autres arguments.
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jeudi, novembre 05, 2009

Blogs technos (suite)


Dans les blogs technos dont je parlais en mars 2008, la déception depuis cet été, c'est la mise en sommeil de Techcrunch France. Si j'ai bien compris, ses 2 principaux contributeurs sont partis sur d'autres projets...

Alors, outre certains blogs d'entrepreneurs que je trouve passionnants (Michel de Guilhermier ou le jeune Michael Ferrari), je me tourne fréquemment vers le célèbre Presse-Citron d'Eric Dupin. Il faut reconnaître que l'allure n'y faiblit pas car même lorsqu'il part en voyage, il laisse champ libre à d'autres contributeurs invités. C'est comme à la Samaritaine - quand elle existait - il s'y passe toujours quelque chose !
L'autre jour, j'y découvre par exemple ce petit article sur ce site de l'Université de l'Utah où très simplement, vous pouvez vous rendre compte de la taille des choses depuis le grain de café jusqu'à l'atome de carbone en passant par un globule ou un embryon.
Cliquez ici, jouez sur la réglette horizontale, vous verrez, c'est assez fascinant. Je prévois de le montrer à mes fils dès ce week-end, c'est quand même mieux que leurs jeux gore !
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dimanche, novembre 01, 2009

De retour de Séville


Retour de 4 jours à Séville,
nous passons d'un 29° C ensoleillé
aux malheureux 15° C parisiens
avec la grisaille et la pluie.
Voici une photo de toits sévillans
que j'ai prise depuis la Giralda.

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Brutalités postales


Voilà comment m'est parvenu récemment un tube envoyé en envoi simple par le courrier !
Heureusement, il s'agissait à l'intérieur d'une reproduction sans valeur, ceci dit je suis quand même étonné qu'on puisse livrer comme ça sans même joindre un petit mot d'explication car - du point de vue du client - c'est forcément incompréhensible.

Ceci me renforce dans l'opinion que j'avais déjà : quand il s'agit d'un original ou d'une pièce de valeur, le recommandé est vraiment indispensable : les objets recommandés voyagent, si j'ai bien compris, dans un circuit complètement différent où chaque objet est pris et déposé "à la main" dans des cageots de transport.
S'agissant de mon tube, en envoi simple je le répète, j'imagine qu'il a été lancé dans des bacs, puis écrasé par un colis plus lourd, avant une agonie que j'imagine terrible.
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