dimanche, janvier 11, 2009

Birdland





J'ai déjà dit dans mon petit inventaire musical combien j'adulais "Horses"(1975), l'album fondateur de Patti Smith, ses longues plages poétiques, les notes de piano erratiques et pourtant parfaitement ordonnées de Richard Sohl, la voix crépusculaire de Patti, la production de John Cale, serrée au cordeau.
L'impression - enfin - que cet album a été fait totalement sous acide sans lien avec nos réalités (j'allais dire nos carcans) d'hommes et de femmes.
Je n'ai jamais retrouvé une telle liberté dans un autre disque.
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